samedi 26 octobre 2013

Faux Contact 124 L'Heure D'Hiver


Enfin une explication simple et compréhensible ... (oui, je dois toujours écrire le reste, je sais!)

mercredi 18 septembre 2013

interlude 2 : rate

je savais que je n'aurais pas finis pour mes 40 ans ... mais 9 mois de retard, de folie et... oui,il faudrait que je raconte... un jour

vendredi 26 juillet 2013

Interlude : Miguel et ses drôles de lames (du tarot)


Interlude ?

Arrivé à ce stade de l’histoire, continuer mois par mois n’aurait que peu de sens pour expliquer la fin de l’histoire avec Une et remercier mes lames que j’ai rencontrés sur le bord de la route et qui m’ont permis de voir clair, de me sortir de mon âme noir et surtout, qui m’ont effacé une partie de la douleur. A ce stade, je n’espère qu’une chose, c’est que UNE soit heureuse (et moi aussi si possible, soyons honnête) !

Des lames de tarots ?

D’abord je dois reconnaitre que ce jeu de mot stupide m’est venu en tête depuis que j’ai commencé à écrire ma 40ème année (oui techniquement/mathématiquement, l’année de l’anniversaire entre le 39 et le 40 est bien la 40ème fois que l’on vit chaque jour). Il fait évidemment référence à « Charlie et ses drôles de dames » (et la version anglaise est encore mieux puisque que l’on parle des anges de Charlie).

L’autre raison pour laquelle je vais me baser sur ces lames vient simplement d’un jeu vidéo (non, ne partais pas, cela ne vas pas durer longtemps) dont le nom est persona (https://fr.wikipedia.org/wiki/Shin_Megami_Tensei:_Persona_3 et https://fr.wikipedia.org/wiki/Shin_Megami_Tensei:_Persona_4  ),  surtout les épisode 3 et 4. Pour faire simple, et la raison pour laquelle je m’en inspire, le personnage principal rencontre des gens au cours de l’histoire et ces lames lui permettront d’avancer et de se sentir mieux.

Et pour la première fois dans ma vie (enfin presque), j’aurais vraiment eu l’impression de me sentir entouré par des amies qui m’auront permis de m’en sortir et probablement de ne pas devenir encore plus fou que je ne le suis déjà.

Donc pour toute personne qui s’inquiéterait pour ma santé mentale, il n’y a absolument rien de mystique dans le document qui va suivre, simplement une façon maladroite de dire merci à ses 5 lames, à 5 amies qui m’ont tendus la main pour m’empêcher de sombrer dans ses jours noirs.

Et on en est où au fait ?

Mon histoire peut (à ce moment-là) se résumer en 4 relations.

La première qui sera mieux expliquée en utilisant des paroles de chansons :
« Ce garçon assis dans un coin, quinze ans, la tête dans les mains, premier amour, premier chagrin, comme le shampoing, la formule deux en un. Il a beau dire que ce n’est pas grave, jouer les hommes, faire le brave, la savoir dans les bras d'un autre, ça lui brise le cœur, ça lui ronge le ventre... » (Qu'est-ce Que Tu Voulais Que Je Lui Dise? Bénabar). Probablement la plus dur à effacer, à s’en remettre et cela m’a pris des années pour refaire confiance. J’ai cru bêtement à cette époque que s’en sortir seul, en ne comptant que sur soi était la meilleur solution ! Que ma vie serait différente si j’avais essayé de saisir les mains que le destin me tendait à ce moment !

La deuxième, beaucoup plus simple, la vrai première histoire. Je me suis trouvé fort désarmé et je me suis laissé entrainer dans un ouragan de sentiment et de façon d’agir… la plupart mauvaise. Je ne suis arrivé à me purger de ce que je ne voulais pas être que des années plus tard. Je n’ai aucune idée de comment j’aurais pu m’en sortir de la fin de cette histoire si le destin n’avait pas mis une histoire d’une nuit (plutôt 4500) quelques mois plus tard. Encore une fois, je n’ai accepté aucune aide. J’ai courus, j’ai essayé d’oublier, de ne pas tenir compte de ce que j’avais appris, de ce que je voulais être ou ne pas être …

La troisième, la plus longue et elle le restera probablement pendant encore des années. Une fuite en avant, c’est certain. Quoiqu’elle puisse croire, j’ai essayé, j’ai eu des moments heureux, je ne lui ai jamais menti sur ce que je pensais… Seulement aujourd’hui je me rends compte qu’il y a bien une personne que je trompais, que je manipulais et cette personne c’était moi. Suivant comment on regarde je me suis remis de l’histoire en 3 jours … ou un an. La dernière année (pour moi en tout cas) fut réellement celle de trop (même s’il y a encore eu de bon moment). Mais c’est cette histoire et le début de sa fin qui va provoquer en moi le plus de changement. Je vais comprendre que la haine, la vengeance, souhaiter du mal à l’autre ne sert qu’à perdre de l’énergie. Cela sera probablement une des raisons pour lesquels, on va s’éloigner si fort. Plus le temps va avancer, plus je vais chercher du réconfort, de la sécurité et non savoir qui est le plus fort et qui a raison (de là à dire que je l’ai toujours appliqué, c’est une autre histoire). Je me retrouverais donc à la fin de cette histoire totalement différent et changé. Prêt à vivre autre chose, de façon différente, ne pas recommencer les même erreurs (mais en commettre d’autre c’est sûr !). J’ai aussi commencé à demander de l’aide à 3 personnes qui m’ont soutenues à l’époque et j’aurais probablement du plus les écouter pour éviter …

La quatrième partie, elle a déjà été écrite avant et si je ne suis pas arrivé à faire passer en 10.000 mots ce que je ressentais, cela ne sera pas possible en un nouveau résumé. Il y aura une intensité et une douceur que je ne suis pas sûr d’avoir vécu avant ! Il y aura une douleur et un deuil que auquel je devrais faire face comme je ne l’aurais jamais fait avant. Plus d’une fois durant le premier mois, je vais être convaincu d’être sorti de cette histoire, d’être de nouveau entier … avant de sombrer dans une mélancolie quelque jour après. Je vais tout essayer pour l’oublier, non, pour me faire croire qu’elle n’avait que peu d’importance et que
« J'croyais qu'un mec en cuir
Ça pouvait pas chialer
J'pensais même que souffrir
Ca pouvais pas t'arriver 
»
Seulement j’avais oublié
« qu'tes tatouages
Et ta lame de couteau
C'est surtout un blindage
Pour ton cœur d'artichaut 
» (Manu, Renaud).
Et les 5 étapes du deuil, je vais me les prendre dans la gueule cette fois et bien. Je vais avoir mon cœur qui va se refermer complétement et qui refusera de souffrir à nouveau. Et il faudra des mois pour que les  battements de cœur commencent, à nouveau, à être irréguliers. Mais est-ce une bonne chose ou est-ce que cela donnera autre chose que les épines d’une rose, c’est une autre histoire qui n’a pas sa place ici !

Les 5 lames

Pourquoi il y a que des 5 dans ce texte ?
On va continuer mon trip mystique et virer dans la numérologie, c’est moi où j’utilise beaucoup le 5 ? Est-ce qu’il a une signification particulière sur mon avenir, ma chance, … Euh désolé, un pétage de plomb ! :-p Donc, voilà par ordre de rencontre, les 5 lames sans qui je ne serais pas celui que je suis aujourd’hui !

(Les définitions anglaises des lames du tarots ainsi que les images viennent de ce site : http://metanorn.net/2012/06/divining-fate-an-analysis-of-tarot-cards-in-persona )

II. High Priestess



“The High Priestess represents intuition, the mystical, and also secret knowledge. …Or in other words common sense and potential that hasn’t been reached yet. In tarot, the appearance of this card means that there’s knowledge or something else that one can reach. However, to reach it, one needs to just listen to their instincts/ what that little voice in their head says.”

(Oui les définitions seront en anglais parce que … c’est comme cela)

Donc, la plus vieille de mes lames (bien que ce soit la plus jeune en fait). Celle qui m’a aidé le plus en refusant le moindre merci pour tout ce qu’elle m’a apporté! La carte choisie pour elle vient du fait que c'est quand même la carte de la recherche de soi et de l'introspection, donc de l'évolution. Et cela là caractérise doublement, elle évolue et elle m’a aidé, déjà deux fois, à évoluer. Je ne suis pas sûr qu’elle lira ce texte parce que je crois que je lui en aie trop demandé au cours de ces dernières années mais je ne saurais jamais comment lui dire merci à cette fille au sang jaune. Et il restera toujours un regret qu’on ne soit pas arrivé à établir une amitié réciproque.

En ce qui concerne précisément l’histoire de Une, elle m’empêchera de me bruler avec des décisions stupides (comme je sais si bien les prendre à 3H du matin). Mais surtout, elle aura été là pendant certaines nuits très sombres et parfois très lointaines.

XI. Strength


« Strength is somewhat straightforward as well, though it has more to do with inner strength then the ability to flip cars or bust through brick walls using your fists. Strength here refers to knowing about your inner desires and keeping them in check. Suppressing desire altogether isn’t the correct answer either though. In this case, it’s about understanding yourself and using that to push forward. This card can also symbolize inner female empowerment. »

Définir la deuxième lame est assez simple, il suffit de jouer à pyramide et faire découvrir le prénom en deux briques : Ecolo (là, il y a un doute avec la lame suivante) et Cheval (là, il n’y a plus de doute). Déjà, il est normal qu’elle ait toute ma gratitude, elle détient la machine à café ! Et quelqu’un qui a une machine à café ne peut-être une mauvaise personne !

C’est au quelqu’un qui a la patience de m’écouter (mais bon, je la paye en massage donc ça  va ! :-) ) et qui est capable de me rappeler des phrases que j’ai tenu sans m’en rende compte. Avec Une, ce sera celle qui m’indiquera combien j’étais devenu peu amusant durant cette période… Bon, ok, il est probable que maintenant, elle souhaiterait que je le sois un peu moins … amusant !

III. The Empress



« The Empress card is kind of like The Magician in that it’s all about creation. However, where The Magician was about control and pushing forward, The Empress is more about letting things grow naturally and at their own pace.  The card can also stand for motherhood and natural growth. »

La mère pour la troisième lame mais uniquement si une bonne mère est une mère qui donne des bouts bois à ses enfants pour jouer pendant des heures. De cette personne j’aurais toujours eu droit à de l’écoute et de bon conseil. C’est celle qui mettra en avant les moments où je suis heureux si jamais je ne m’en rends pas compte.

X. Wheel of Fortune



« The Wheel of Fortune card is pretty much like the name suggests. It represents an upcoming sudden major change that one has next to no control over because life is a bitch that way (or you could throw ‘fate’ here if you like that word better). It could be bad or it could be good, but either way, it’s out of your hands. The card suggests that it’s probably best to just go with the flow and pick up the opportunities that you can since you have no control over it, and any outright resistance is pretty much just wasted effort. Though when it’s right side up, it usually means that the change means good things to come »

On arrive aux deux dernières carte que j’ai rencontré après mon histoire avec Une.

Et celle-ci est la pire et la meilleure chose qui me soit arrivé cette année. Cette lame est d’une douceur (malgré son surnom de Brutus) et m’a redonné confiance en tellement de chose… Seulement à l’époque, je n’avais pas encore compris que ma tête était toujours embuée de nuages, que je n’arrivais pas à voir ce qu’il y avait devant moi. Dans ces conditions, il était impossible que j’ai la moindre étincelles (et clairement karma is a bitch). Ce qui m’ennuies le plus, c’est qu’elle aura été capable de m’apporter des gestes d’affection dont je rêvais depuis 12 ans, elle aura pris des risques (et sera même arrivé à être à l’heure) juste pour moi et juste pour me faire plaisir… mais s’il reste une trace une histoire avec Une encore aujourd’hui en moi, c’est que je ne veux pas moins qu’une relation où je brille de mille feu, où mon cœur saute un battement à chaque fois que je pense à elle.

Elle deviendra donc une amie, une confidente, une personne capable de me réconforter dans mes gros coups de blues quand je me laisserais encore emballer pour une rose (une autre histoire, un autre cycle). Elle sera à la base de ma réflexion sur mon dernier message à Une qui scellera définitivement l’histoire. Car, elle me verra comme une âme en peine et refusera que je fasse comme si de rien n’était, comme si tout allait bien et m’obligera à affronter mes peurs.

VI. Lovers


« The Lovers represents the obvious (love, passion, bonds, etc.), but it also represents choices or duality. The Lovers are plural and they need both individuals in order to be so. As for the choices part, it can represent a major fork in the road coming up. Major choices are going to need to be made. Just like a relationship, sometimes you’ll have to choose one thing over another in order to make things work out. »

La dernière lame rencontrée dans cette période. Celle dont le prénom ne devrait jamais être donné à un enfant de sexe féminin de peur de la transformer en une machine à psychoter. Rencontré au détour d’une visite OVS, elle me sera aussi d’un grand secours quand je me sentirais seul. Elle arrivera à me convaincre de reprendre contact une dernière fois avec Une ne utilisant une phrase simple : « Vas-y, pète toi la gueule et tes ami(e)s seront là pour te ramasser, te réconforter si jamais cela se passe mal ». Et même si au final je n’en n’aurais pas besoin, le fait de me savoir soutenu sera ce qui me fera sauter le pas … oser et écrire cette lettre dont je parlerais après.

600 millions de chinois, et moi, et moi

Si je me base sur le jeu que j’utilise comme référence pour parler de ces lames de tarots, je devrais être « 0. The Fool » (« The Fool is the first card of a tarot deck (…or the last depending who you want to argue with.) and is generally unnumbered or number 0. …The meaning of the card is here, it’s because the number zero/ having no number holds infinite possibilities. It has nothing and therefore, has the potential to be anything. The card in a reading means that one is in such a crossroads with a crap ton of choices or possibilities. Comparing the card to a journey, this would be the starting point ») .
Mais bon, vu cette année et vu le reste cela pourrait être aussi « XIII. Death » (« Death is more about the ending of one thing and the start of another. This can range from relationships, the end of a hobby, the closing of a shop or a million other things that have nothing to do with the end of a life. It doesn’t even have to be a negative thing, as the card can represent  the end of a fight or something. Another thing this card represents is rebirth or the start of something new. Sure the loss of something is never really easy, but sometimes what comes after is better ») et je sais que les puristes ajouterais à propos de cette carte : « Elle n'a pas de nom puisqu'elle est le changement, le renouveau, le mouvement. Le temps de la nommer et elle est déjà une autre... »

Dans les deux cas, ces deux cartes signifient un changement, une prise de cap différente et cela résume bien ce que j’ai vécu durant ce premier cycle de cette année. La fin d’une histoire dont je ne l’avais définitivement pas assez dans la peau pour passer à une histoire dont je l’ai trop eu dans la peau …

Et bon, si je peux, je ferais ma propre lame du taro personnel (oui, mais don de Photoshop sont très, très limité !)

Les 5 étapes du deuil

Ce dernier chapitre pour finir le cycle, pour finir l’histoire et pour espérer sur l’avenir !
Et donc, durant les 5 mois qui vont suivre, je vais donc passer par les 5 étapes du deuil avec des allers-retours fréquent d’un état à l’autre jusqu’au moment où j’aurais compris qu’il ne me reste plus qu’un état à passer avant de pouvoir faire mon deuil de cette histoire.

Le déni

Ce sera probablement l’état dans lequel je reviendrais le plus souvent. Me dire, me tromper que non, ce n’est rien et que non, cette histoire ne m’a pas touché. Que je me suis remis si facilement la dernière fois, pourquoi cette fois, cela serait différent.

Dans cet état, mes lames vont souvent me faire remarquer que pour quelqu’un qui va si bien, je devrais probablement être plus heureux !

Dépression

Que l’on soit bien d’accord, aller dans le pays du blues (même si cela reste une de mes meilleurs destination que j’ai jamais faite et que cela ne serait pas sage d’y retourner en 2014 … mais je me tâte toujours) n’est vraiment pas la meilleur idée quand on n’est pas dans le meilleur état d’esprit. Certaine chanson resterons de ce voyage ancré en moi et qu’est-ce que j’ai pu faire chier « La grande prêtresse » qui n’aurait rêvé que d’une chose, c’est d’être dans mes valises pour profiter de ce superbe endroit (et rien d'autre mauvaise langue que vous êtes). Le nombre de baffes que je me suis prisent par message m’ont mis un peu de plomb dans la cervelle (ce qui au vue de mon état, n’était pas compliqué) mais probablement pas suffisamment car il faudra encore une grande dépression de 40 (merde, ce n’est pas un 5) pour que j’envisage le marchandage.

Colère

L’état où je m’en veux le plus. Non, pas que j’ai fait preuve de colère envers l’univers ou envers les gens mais la colère était bien dirigé contre moi et cette incapacité à oublier, à passer à autre chose. Et je vais me lancer dans des histoires sans faire attention de qui je peux blesser et l’une des victimes sera ma « bonne fortune ». Je ne comprends toujours pas comment elle peut m’en vouloir si peu !
Et la colère sera double parce que je m’en voudrais de ne plus rien éprouver, d’avoir subis cette ablation du cœur !

Marchandage

Comme je l’ai indiqué avant, je vais finir par prendre mon courage à deux mains et oser écrire une dernière lettre, une lettre avec ma plume trempée dans le miel, une lettre sans aucune protection et une mise à nue total… mais surtout une lettre sans aigreur, sans revanche, juste une demande de recommencer l’histoire, d’essayer d’oublier. Et si j’ai appris quelque chose de positif de cette histoire, c’est bien cet état d’esprit, la revanche et la vengeance n’apporte rien. Si on a plus quelqu’un dans la peau que ce que l’autre ressent, c’est dommage mais ni la haine, ni rien ne pourront changer cela (oui, parfois, je ferais bien de lire ce que j’écris …). On peut essayer, on peut prendre des risques mais si cela ne marche pas, remplacer le sentiment que l’on a pour l’autre par de la haine, une envie de faire mal à l’autre, aux autres, à l’univers ne finit que par nous rabaisser nous même.

Fait amusant ou signe du destin, au choix, au moment où j’aurais la réponse de Une, j’aurais la demoiselle de ma première histoire qui m’écrira pour une raison des plus stupides. Cela n’apporte rien à l’histoire mais cela m’aura fait sourire

Acceptation

A la lecture de sa réponse, cela va être une douche froide (soyons honnête) et une révélation que l’histoire est finie, qu’il est temps que je passe à autre chose.

En conclusion

Voilà, la première partie de mon voyage s’achève (même si j’ai encore quelques mois à écrire qui feront toujours partie de cette histoire) et je n’ai aucune idée aujourd’hui de ce que donnera la deuxième partie mais il semble que mon cœur décidé de battre à nouveau.

vendredi 19 juillet 2013

Décembre : Mois du soleil et du bonheur



Bilan : Encore une fois, un mois relativement simple … Le bonheur et des vacances lointaines …

Une habitude se met en place ?

Le début du mois sera relativement simple. Il suffit de reprendre la routine mise en place dans le texte précédent et vous aurez une idée de la composition de mes soirées ! Des soirées sans stress, sans problème, sans prise de tête, juste des bons moments… Je reconnais que je n’avais jamais mais au grand jamais envisagé une relation sous cet angle.

La république dominicaine

Pourquoi aller là ?

Un reste de ma vie précédente va venir hanter la moitié de ce mois. J’avais eu envie de faire un beau voyage en 2012 et les événements ont fait que le voyage a été reporté de mois en mois pour finir par tomber sur décembre. J’avais le choix entre Cuba et la république dominicaine. Pour un tas de raison qui sont propres à mon histoire précédente, le choix s’est posé sur ce pays … Me doutais que j’aurais encore un cadeau empoisonné…

L’hôtel


Bin oui, vous pensez bien que 2 semaines tout seul avec mon appareil photo, cela ne pouvait que donner un résultat de ce genre là non ? :-p

Une version des meilleurs photos prises sur l’entièreté du voyage (400 quand même) est disponible ici : http://www.flickr.com/photos/miguel_discart/sets/72157633786485354/

Donc la date choisie pour le voyage était en fonction des ouragans, des jours de pluies et ainsi de suite et donc, je devais avoir un superbe climat à l’arrivée.
Voici le ciel du jour où je suis arrivé :
Alors oui, cela donne de belle photo, c’est sûr mais bon, on est un peu comme ce canard sous la pluie et on se demande ce que l’on fout là …
Mais bon, le beau temps est vite revenu et je dois reconnaitre qu’ayant une envie de passer de bonne vacance, de ne pas me focaliser sur le négatif. C’est surtout ce genre de paysage avec un beau soleil dont je me rappelle !
Sinon, pour le reste, absolument rien à redire sur l’hôtel … Impeccable, la chasse aux différentes statues étaient amusante !

Le petit train pour faire l’entièreté du complexe était plus que le bienvenu !
Et je dois reconnaitre que le champagne au petit déjeuner reste une grande première (même si les jus frais était quand même bien meilleur !)

Miguel fait le con dans les arbres



Ayant eu vraiment envie de faire des choses différentes (et en gros aussi de faire simplement des choses) lors de ces vacances, je me suis essayé pour la première fois à la tyrolienne au milieu des arbres. Il suffit de voir la photo pour voir à quel point je suis rassuré et à l’aise. Je ne sais pas si je le referais jamais mais cela reste une expérience sympa. En plus, comme on peut le remarquer dans les photos, cela a permis de faire une jolie ballade dans la « campagne ».
Un vrai bon moment !

Hispaniola Explorer!


Alors là, c’est clair que cette visite, c’est autre chose. Commencer dès 10H du matin à carburer au Whisky Coca … Non, il faut la santé c’est sûr !
Sinon, les visites bien que très « classiques » seront intéressantes et on passera en revue : la plantation, l’église, l’école ainsi qu’une jolie balade en bateau avec la photo suivante que j’aime bien avec ces différentes sources (et donc couleur) d’eau mais soyons honnête, c’est plus beau en réalité !

Saint-Domingue

Ballade jusque la capitale qui n’apporte pas grand-chose de spécial si ce n’est un problème de transport qui nous bloquera pendant des heures dans un petit magasin (avec des chats mignons).

En conclusion

Il restera encore la visite au marché près de là (https://plus.google.com/photos/116082673275500707298/albums/5823566318295228801 ) où pour la première fois de ma vie, ou après une négociation sur le prix  des souvenirs, j’aurais la personne qui me demande un pourboire pour cette négociation ! (Je signale d’ailleurs à une me les lames du tarots que j’ai toujours sa bouteille de rhum et qu’elle passera bientôt d’une bouteille de 5 ans à une bouteille de 10 ans).
Le voyage au final aura été très bien et passer la période de noël au soleil peut se résumer par une photo : Des gens en maillot sur la plage … avec un bonnet de père noël.

Cette ambiance m’a tellement plus que si je fais effectivement Cuba cette année, j’essayerais de rester pour le réveillon de noël !
Sinon, j’ai trouvé ce pays assez faible. Probablement parce qu’il l’est vraiment, peu de visites culturelles qui peuvent être réalisées et probablement aussi parce que je n’avais qu’une envie, être avec Une, revenir en Belgique pour être dans ses bras

Les fêtes de fin d’années

Le réveillon de noël.

Il n’est probablement pas nécessaire de l’écrire mais à mon retour, j’ai recommencé avec une joie non dissimulée à passer pratiquement toutes les soirées chez la voisine et la décision sera vite prise qu’à partir de l’année suivante (enfin, après la période de congé de fin d’année) que cela deviendrait toutes les soirées (la bonne blague).

Et donc, comme il était hors de question que je passe noël seul, je me suis retrouvé à devoir prendre le train pour Anor (enfin, non, pour la gare belge la plus proche) en ce 24 décembre. Et là, pour ceux qui me connaissent vraiment, je peux donner une idée du changement qu’Elle est arrivée à insuffler en moi. Pour une raison (plus que valable), elle va arriver avec 3H de retard. A moi, me faire le coup de 3H de retard, il est clair qu’il y a des gens qui sont suicidaires sur cette terre ! Surtout que la gare de rendez-vous n’avait de gare que par le fait que des trains s’y arrêtent et n’avais aucun bâtiment pour s’abriter. Mais heureusement, il y a le café de la gare qui m’offre un repère pour me réchauffer … et qui va fermer 1/2H après mon arrivée. Et donc, je vais tant que mal éviter de geler sur place pendant les 2H30 qui vont suivre. Et donc, ceux qui me connaissent savent exactement ce qui s’est passé. A son arrivée, quelle autre réaction aurais-je pu avoir que d’exploser et donc finir ainsi la relation… Eh bien, vous vous trompez, absolument pas. A son arrivée, son sourire m’a de nouveau fait fondre et cette attente m’a parus valoir son pesant de cacahouètes ! Je ne vais pas m’étendre sur le réveillon qui fut l’un des meilleurs de ma vie. Quoique je puisse raconter, je serais encore loin de la vérité… Et oui, j’ai compris, pour une fois, pourquoi il ne faut pas être seul à noël ! :-p

Le réveillon de fin d’année.

Aucune idée de ce que je peux raconter et il s’est relativement bien passé jusqu’aux douze coups de minuit et le début de 2013. De cela, je retiens que plus jamais je ne laisserais personne me parler de camping et de matelas gonflable.

En conclusion.

C’était une belle histoire, elle va commencer à se désagréger dans 12H pour se finir dans 12 jours. Suivra une période où il faudra que je comprenne les dégâts que j’ai en moi (cette fois pas question de passer à autre chose en quelque jour) et il me faudra encore plus longtemps pour que j’arrive à faire taire la douleur. Aujourd’hui, il reste un très bon souvenir, une belle parenthèse dans ma vie avant que la grisaille ne reprenne le dessus !

mercredi 17 juillet 2013

Novembre : Mois du geek et de la concrétisation



Bilan : Une histoire qui commence … sur les chapeaux de roues. Des gens déguisés, du catch et de l’informatique, un bon mois !

Objectif du mois.


Celui-ci était facile, il allait être le mois du geek. Et donc tout d’abord merci Wikipédia :
Geek  est un terme d'argot américain, qui désigne une personne extrêmement pointue dans un domaine précis (souvent lié aux nouvelles technologies ou aux "cultures de l'imaginaire"). Du fait de ses connaissances pointues, le geek est parfois perçu comme trop cérébral1. Le mot a été peu à peu utilisé au niveau international sur Internet de manière revendicative par les personnes s'identifiant comme tel. Le terme a alors acquis une connotation méliorative et communautaire.

Bon la phrase suivante de la définition expliquera encore mieux probablement ce que je comptais faire durant ce mois :
L’archétype classique du geek est celui de l'adolescent passionné d'électronique, d'informatique. Cette passion s’exprime concrètement à travers de nombreuses activités, telles que le jeu de rôle, le cinéma, les séries télévisées, les jeux vidéo ou encore la programmation informatique.

Alors, oui, l’objectif ne sera atteint pas à 100% à cause d’imprévu mais cela sera un mois remplis de visite, de geekitude (oui, j’invente les mots que je veux) et d’une miss sandwich jambon/fromage (pas les deux ensembles … trop de goût !).

Chronologiquement ou par nature … c’est la question !

Par nature parce que cela sera plus simple et en commençant par Elle puisque cela sera quand même le fait marquant de ce mois !

Donc, le mois précédent s’était finis, la concernant par un « Putain, quel con », pensé, ressassé pendant deux semaines. En plus, on va ajouter de l’incompréhension dans les échanges de courrier. J’étais encore fort dans une phase, je suis un mec donc je ne dis pas forcément ce que je pense (Ca, ça va changer en 2013, c’est clair !) et donc on en arrive à pratiquement annuler le rendez-vous suivant sur cette incompréhension (alors oui, ma vie aurait été différente et probablement moins douloureuse dans les mois qui vont suivre). On finit par se mettre d’accord et malgré que le week-end est relativement chargé pour moi (cela sera celui de la Japan Expo, voir plus bas). On arrive à trouver un endroit pour se retrouver, une de mes cantines de ma vie précédente, un restaurant que je vous conseille le KERVANSARAY (au Boulevard du Jardin Botanique, 7 1000 Bruxelles).

Pour une fois, dans cette époque (je le garderais avec moi dans le cycle suivant je dirais), je vais aller contre ma nature et dire les choses clairement. Passer outre ma timidité, risquer de la faire chier avec mes envies, pensées. Lui imposer mon existence. Et donc, la discussion va porter principalement sur le « Putain mais quel con » de la fois précédente. J’aurais donc la confirmation que effectivement, ce que j’ai interprété après était la bonne façon de voir les choses. Et la fin de la soirée se transformera en moment magique.

Le lendemain, nous feront la sortie « A la recherche d'hercule poirot » dont je parlerais dans la deuxième partie et je ne dirais jamais à quel point, j’ai été heureux que la personne que je devais voir le dimanche à la Japan Expo a eu du retard sinon je n’aurais jamais pu être à l’heure.

La semaine suivante sera sans elle et donc, 15 jours plus tard, on passera le week-end ensemble, on fera la visite « Le Bruxelles des amoureux » (oui, toujours dans la deuxième partie) et rien de spécial n’arrivera … Ah si, juste un détail, une broutille, …

Alors cela a commencé le dimanche par le fait que j’avais dit que j’étais informaticien (tueurs à gages, j’oublie toujours que je dois dire tueurs à gage, pour comprendre : http://www.commentcamarche.net/contents/487-une-journee-dans-la-vie-d-un-ingenieur-systeme ) et donc magiquement je suis capable de tout réparer allant de la cafetière à la machine à laver (oui aucun rapport avec l’informatique et …). Mais je devais juste passer, ne pas rester, réparer ce qui devait être réparé avant l’arrivée de sa fille. La réparation, c’est bien passé (enfin, en terme informatique, parce que dans la réalité, cela veut dire que cela aurait pu aller beaucoup  plus de travers!). Et comme à chaque fois, on a décidé de discuter un peu après. La discussion va entre-autre porter sur noël et le fait qu’il est hors de question que je le passe seul (ah bon ?) et que c’est décidé, je passerais Noël avec sa famille à Anor (Ah bon ?) et donc, la discussion continue, continue, … jusqu’au retour de sa fille et voilà quoi …
La décision sera prise à partir de ce moment que je passerais plus de temps chez elle puisque maintenant je connais sa fille et donc la vie va continuer sur un rythme assez particulier, rentrer chez moi, faire les deux trois trucs que je dois faire chez moi, se préparer, aller chez elle… et on recommence le lendemain. Pour ceux qui me connaisse, non cela ne me ressemble mais bon soyons honnête, il n’y a pas grand-chose qui me ressemble dans cette histoire. Elle sera le début de mon vrai changement. Elle va me montrer que la vie peut-être simple, non conflictuel et simplement agréable …
On fera aussi la visite « Quand les estaminets raconte Bruxelles» ensemble et qui finira d’ailleurs ce mois de novembre.

Le « vrai » mois du geek et autre visite

Les saints de Bruxelles

« Comme un insecte d’or dans le soir rose et clair, Le feu vibrant encore aux arcs de ses deux ailes, L’ange, patron hautin, illumine Bruxelles, De son glaive barrant le ciel comme un éclair (Emile Verhaeren).
La Belgique a connu une évangélisation très précoce, dès la fin du premier siècle. Puis, après les périodes sombres de persécutions et d’invasions, la doctrine chrétienne s’implante solidement dans nos régions, pour culminer au septième siècle appelé le «siècle des saints». Outre Saint Michel,
Saint Nicolas, Saint Boniface ou Saint Damien, votre guide vous parlera de saints évangélisateurs, saints évêques, vierges martyres, de saints connus ou devenus inconnus. Vous verrez leurs représentations dans Bruxelles, vous apprendrez ce nous savons de leur vie, la date de leur fête, les raisons pour lesquelles ils ont été invoqués, les catégories sociales dont ils sont les patrons et les prières qu’on leur a adressées… Une plongée dans une perception exacerbée ! »

Bon, la visite était assez intéressante et au moins, j’ai eu l’explication du « mythe » de Sainte-Gudule (oui, j’ai encore visité Saint Michel et Gudule). Mais cela ne restera pas comme une des sorties les plus mémorable que j’ai jamais faites. Et c’est là que l’on se rend compte que guide, c’est un métier. Il faut une bonne mémoire (pour éviter de lire ses documents tous le temps) et il faut un jeu d’acteur (pour éviter une certaine monotonie dans la voix). Cela sera aussi la première sortie que je ferais qui sera troublé par la pluie… La fin de l’été indien ?

La Japan Expo



Cette année, j’avais décidé de faire les 3 jours de façon entière et continue (enfin presque avec l’idée de se faire un petit restaurant différent chaque midi). Les restaurants cela sera un peu catastrophique à cause de tous les changements d’horaire que je vais subir, je ne vais en faire qu’un seul le vendredi.
L’exposition, elle tiendra toutes ses promesses. Un véritable rêve pour le photographe amateur que cet ensemble de personnes en costume qui se prêtent volontiers à la photographie !


J’aurais assisté à de superbe conférence et j’aurais même découvert une petite perle belge : http://www.saturdayman.be/

Tellement content de ses 3 jours (même si je me demande si ce n’est que les 3 jours qui m’ont rendu si heureux mais c’est une autre question) que je suis déjà sur les starting block pour cette année et je me dis que le pass VIP peut-être très sympa !

A la recherche d'hercule poirot

« Quartier de l’Amigo, un cri, un plateau aux tasses chocolatées, des bruits rapides et feutrés dans les couloirs… un frisson d’horreur parcourt Bruxelles… Je vous invite à une escapade meurtrière dans Bruxelles, à la recherche du passé, des énigmes policières, de l’histoire architecturale, des anciennes et nouvelles lois appliquées. Quelles sentences, pour qui, pourquoi, comment ? »
Jolie petite balade dans la ville remplie d’anecdote sur les différentes affaires criminelles.
C’est comme cela que j’ai appris que ces statues racontaient l’histoire d’un assassinat :
 En plus la visite sera agrémentée d’un petit jeu genre qui « est-ce » simple mais bien mené. Vraiment un bon souvenir (encore une fois que ce soit la première visite faite en compagnie de Une, ne doit pas être totalement étranger à ce bon souvenir soyons honnête).

WWE - Smackdown World tour

Pour continuer le mois du geek, après la Japan expo, du catch … Le gala sera intéressant. Et cela me permettra aussi de sortir totalement de ma zone de confort puisque forêt national a toujours été synonyme de problème pour y aller. Mais cette fois, j’ai essayé de le faire en transport en commun et plus en voiture. Conclusion, c’est fou ce que cela facilite la vie ! :-)

Devoxx

Lieu par excellence des geek, une semaine de conférence sur le monde de l’informatique et plus particulièrement du Java. En plein centre d’Antwerpen (enfin, plus ou moins), au cinéma Metropolis, ce qui permet d’avoir des superbes écrans de projections, pendant 5 jours, je vais suivre des conférences. Cela reste un des moments très intéressant de l’année point de vue boulot et il est probable que j’y retournerais cette année ! Détail toujours amusant, cela reste l’un des rares endroits ou la file à la toilette est bien plus grande pour les hommes que pour les femmes !

Le Bruxelles des amoureux

« Tout en débusquant l’histoire du cœur de la cité, cet itinéraire évoquera le cœur des amoureux célèbres (Rimbaud, Verlaine, Charlotte Brontë,…) ayant vécu, aimé et parfois souffert à Bruxelles. »

Pas une mauvaise visite, le guide reste toujours aussi exceptionnel mais elle sera au final assez creuse dans les informations proposées. A croire qu’il est impossible d’avoir une histoire d’amour à Bruxelles (quand je vous dis que je ne comprends pas les signes que l’univers m’envoie …)

Adresses de bouches à Bruxelles

« Je ne jure que par Untel, c’est le meilleur fromager de Bruxelles... A mon humble avis, c’est là que l’on trouve les meilleurs biscuits, d’ailleurs... ma mère et ma grand-mère s’y fournissent depuis des lunes, c’est vous dire... Qui n’a pas entendu ces échanges passionnés entre connaisseurs, véritables déclarations d’amour, sincères recommandations et serments de fidélité sur Untel, pâtissier ou chocolatier en vogue ou désormais établi depuis qu’il est attitré à la Cour... à vos papilles »

Encore une belle visite, j’aurais même mangé un cricket pour la première fois (voir la photo) mais enrobé d’or… Un comble, avoir fait un grand nombre de pays exotique et la première fois que je mange un insecte … c’est chez un fournisseur de la cours.
Mon plus gros regret sur cette visite vient du fait qu’elle aura été principalement une visite sucrée. Or quand on lit la description, je dois reconnaitre que j’aurais bien aimé un peu de charcuterie ou de fromage.

Quand les estaminets racontent Bruxelles

« Une soirée consacré à la découverte de la bière Belge, des anciens cafés traditionnel ou bistrot folklorique, insolite tous ces cafés populaire ou lieux mythique des années ou Bruxelles Brusselait. Découvrir ce qu'ils racontent de l'histoire de la ville, les mœurs, les liens sociaux, leurs décors s'expriment aujourd'hui dans les grands courant architecturaux des modes qui ont traversé notre pays. »
 
Voilà une belle façon de finir les visites du mois de novembre. Ce petit tour du centre de Bruxelles et de ses estaminets les plus authentique (ou qui l’était avant de se faire acheter) a permis un moment de convivialité entre les participants et le guide. Comme d’habitude, il a pu nous faire part de sa passion autant pour les belles choses que pour la bière.

En conclusion

Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? L’un des mois les plus occupés de ma vie, porteur de tellement de promesses sur l’avenir … et qui se révélerons tellement fausse que j’en arrive à les coucher sur papier pour les mettre dans leur petite boite. Ecrire cette désillusion pour ne plus avoir à la raconter ?